Retour sur le salon du livre 2015

Par Valéry K. Baran et Hope Tiefenbrunner.

Le week-end du 20/21 mars, qui débuta en réalité le jeudi 19, vos deux auteurs de blog étaient invitées à Disneyland au salon du livre (option yeux écarquillés, je m’extasie de tout, on dirait-une-gamine-de-douze-ans-en-mode-usante-pour-ses-parents), à Paris ! Chacune de nous avait son rôle, défini ou spontanée (après tout, nous sommes les spécialistes de l’arrache) : moi (Valéry K. Baran) en dédicace le vendredi-G.O.-attachée es relations sociales (HQN pourrait m’embaucher), et Hope en coach-amie-reine du teaser-auteur à ne pas louper pour sa prochaine publication chez HQN (oui, je suis forte aussi pour le teaser).

Et ces trois jours ont été riches en émotions, en émulations et en rires (n’allez pas à un quelconque spectacle comique, allez au SDL, c’est mieux).

Jeudi 7h53, les premiers textos commencent à être échangés, l’une dans le bus, l’autre dans son RER. L’échange continuera une bonne partie de la matinée, car reconnaissons-le, j’ai le sens de l’épique et ma montée sur la capitale le sera :

  • Une correspondance loupée à la gare, une série de 3 trains pour remplacer le deuxième, une deuxième correspondance qui a failli être loupée et m’a forcée à courir dans la gare mon sac sur l’épaule,
  • Texto d’alerte à Hope à 10h45 : trousse à maquillage perdue dans cette épopée SNCFesque. Celle avec LE maquillage que je voulais mettre au salon (heureusement Hope en avait avec elle). Arrivée avec 2 bonnes heures de retard pour rejoindre une amie avec qui j’ai passé l’après-midi,
  • Retrouvailles avec Hope à la sortie de son boulot (avec 15 minutes en retard – ce sera le leitmotiv de ce week-end) pour se rendre compte que, pour ne pas changer, nous nous étions débrouillées pour être en mode nous-sommes-deux-soeurs-jumelles-parfois-on-a-une-connexion-qui-nous-fait-peur, avec une mini jupe noire + un pull rouge + un petit reflet auburn dans les cheveux + un duffle-coat noir chacune, + le même maquillage donc !

Nous sommes deux sœurs jumelles…

Nous voilà parties, sans une minute de silence jusqu’au SDL, où l’arrivée se fera à presque 20h00. Parait-il que Gilles aurait eu une information comme quoi c’était à 19h que nous étions censées arriver ? Non mais c’est très surfait d’arriver à l’heure, en fait.

Et là, c’est Disneyland. Gilles Milo-Vacéri, qu’on trouvait déjà d’une gentillesse et d’une sympathie rare, est encore plus gentil et sympathique, nos deux éditrices, avec qui on trouvait le contact extrêmement agréable et dont on admirait la compétence, se sont révélées encore plus sympa et intéressantes avec qui discuter (en plus d’être très belles… peut-être devrait-on les détester, en fait). Angela Morelli s’est révélée aussi drôle et pimpante que nous l’imaginions, Marie Lerouge et Marie-Laure Bigand aussi douces et agréables, Barbara Katts sexy en plus d’être très gentille, et Emily Blaine, que nous imaginions très drôle, tout en craignant qu’elle soit trop prise par ses diverses sollicitations pour pouvoir discuter, s’est en fait avérée être quelqu’un de très simple, en plus d’être toujours drôle et agréable. C’était un plaisir. Nous avons aussi croisé Louisa Méonis avec qui j’aurais aimé plus parler, pareil pour Stéphie avec qui on s’est dit plusieurs fois qu’il faudrait qu’on se trouve un moment ensemble pour échanger plus que quelques mots, mais ça a été difficile sur ces trois jours, pareil pour beaucoup de monde (c’était en mode loopings sur l’attraction « Indiana Jones » de Disneyland, là).

Sylvie Géroux et Marie Lerouge

Après quelques coupes de champagne et des petits gâteaux, nous sommes rentrées chez Hope, où il a, bien sûr, été impossible de se coucher de bonne heure, alors même que nous savions qu’il faudrait se lever le lendemain et être prêtes à affronter la grande journée de vendredi (surtout pour moi) !

Vendredi, donc :

c’est parti !

Après un moment génial passé avec Gilles à parler écriture et vie d’auteur autour d’un café (et 45′ de retard, non mais parce qu’il ne faut pas déconner, on ne casse pas une si belle série) et des moqueries sur ma tisane qui me suivront pendant longtemps, je l’ai bien compris (comment ça ? On ne peut pas écrire des cochoncetés et boire de la tisane ?), on est allés se mettre en place pour cette fameuse séance. Sachant que, lorsque je m’y suis préparée, depuis ma petite campagne du sud de la France, j’avais :

  • choisi consciencieusement un maquillage (oui, j’y reviens),
  • essayé tous mes stylos pour trouver celui qui faisait la plus jolie écriture (et pris deux autres au cas où),
  • emporté un collier qui a une valeur de porte-bonheur puisque c’est mon homme qui me l’a offert,
  • prévu un cahier pour noter, sur les conseils d’Anne Rossi, l’orthographe des personnes à qui je dédicace et en garder en plus le souvenir,
  • réfléchi consciencieusement à ce que je pourrais écrire en dédicace…

Sauf que là, c’est Space Mountain.

Gilles Milo-Vacéri, en mode « explications »

Je me suis retrouvée :

  • sans mon collier/mon maquillage que j’avais oublié/perdu,
  • incapable de remettre la main, au fond de mon sac blindé, sur mon stylo qui écrit bien (le seul que j’ai fini par trouver était le pire : celui qui a la mine qui bouge quand on écrit,
  • à oublier d’utiliser le carnet (et oui, j’ai fait une faute sur un nom, sur lequel j’ai dû faire un petit pâté du coup),
  • tellement sollicitée de tous côtés que j’ai tout oublié : quoi écrire en dédicace, l’orthographe des mots (ce moment de solitude quand tu es en train de te demander si « excellent » prend un « c » après le « x » et pourquoi tu te demandes soudain ça alors que tu l’as toujours su) (et j’ai fait un petit pâté), en train de stresser en écrivant « capoeira » parce que je ne savais plus, du coup, si je l’écrivais comme il le faut), en train de répandre mes cheveux sur le livre que dédicaçait Gilles à côté de moi (merci pour ta patience, Gilles) et dont j’ai bien vu que le professionnalisme (beau stylo, belle encre, belle écriture, attitude assurée…), était à des années-lumière de mes pâtés faits avec mon stylo dont la mine bougeait toute seule, et en train de faire régulièrement par maladresse des traits de stylo sur la tranche des livres dont la pile se trouvait devant moi et d’en mourir de honte (si vous en avez un, vous savez d’où ça vient. C’est collector). Pendant ce temps-là, Hope mitraillait et balançait déjà les premières photos sur notre page facebook !

Comme j’ai été mitraillée, je vous offre les détails de l’action :

1 – Qu’est-ce qu’ils sont drôles, tous !

2 – Bon, je vais le trouver, ce stylo, quand même ?

3 – (Notez la crispation du sourire et le regard qui devient inquiet) Mais ils sont où ces *** de stylos ?!!!

Bonheur d’avoir pu discuter avec quelques lectrices, bonheur d’avoir entendu quelques jolis mots sur mes écrits, bonheur d’avoir rencontré quelques personnes croisées sur la toile, on fait encore quelques dédicaces pour des exemplaires qui seront à gagner en concours (allez hop, en voilà 10 de plus !), on laisse la place à Julien Tubiana et Mathias Claeys avec qui c’est un plaisir de discuter, on fait de nouvelles dédicaces appuyées sur un genou ou sur un bout de mur (trop facile, maintenant ! Et, hop, sans les mains !),

Julien Tubiana et Mathias Claeys

Finalement, les dédicaces se terminent, Hope range son attirail de paparazzi et me rejoint. Rendez-vous est pris pour boire un café avec Clarissa Rivière, adorable et épatante d’humilité, Gilles, Marie Lerouge et une de ses amies, auteur également. C’est là que nous découvrons le gros hic de ce SDL, celui dont tout le monde va se plaindre à un moment ou à un autre : mais où peut-on s’asseoir ??? Pensent-ils seulement aux pieds de ces pauvres auteurs, visiteurs, mais surtout auteurs dont les petites chaussures commencent sérieusement à leur fatiguer la voute plantaire ??? Nous finirons par terre sur la moquette (l’épreuve asseyons-nous avec une jupette sans exposer ce qu’il ne faudrait pas, sera relevé avec brio par Clarissa, Hope et moi !)

Pendant ce temps-là, Angela Morelli continue à dédicacer en mode « sur un coin de mur », tranquille. Des as, ces auteurs HQN !

Et retour sur le stand HQN pour en fêter les deux ans. Tartes, champagne, chamallows (aux couleurs du Brésil ! chapeau), les conversations reprennent dans tous les sens jusqu’à la bonne blague de nos éditrices, qui nous annoncent qu’il va falloir faire une petite vidéo ! A chacun de dire un petit quelque chose devant la caméra ! Ah ah ah !

Non mais, sérieux, il faut que je parle devant une caméra maintenant ?

Autant vous dire qu’avec le peu d’heures de sommeil, le presque rien mangé le midi, l’excitation ambiante et la coupe de champagne bue juste avant, on sentait bien que l’alcool nous était monté à la tête. Hope a bien tenté de se défiler en disant : « non mais moi, mon roman n’est pas encore paru, je ne peux pas… » : que dalle, elle a dû y aller comme les autres, et je me suis esquivée deux fois en poussant quelqu’un avant moi, dont Hope qui m’a mis encore moins à l’aise tant elle a été cool et assurée (pourquoi ne suis-je entourée que de gens qui ont trop la classe ?). La sentence tombera quand sortiront les images.

Emily Blaine, au top du professionnalisme, en train de dédicacer à fond le samedi (et les chamallows aux couleurs du Brésil !)

A partir de là,  le week-end n’a été que bavardages et rires. Nous ne pourrions pas faire la liste de toutes les personnes que nous avons rencontrées parce que ce serait trop long (et qu’on vous ferait peur à nous répandre en louanges sur chacun, digne d’une soirée trop arrosée – ze ne te l’ai zamais dit mais tu es quelqu’un de zénial…). Mentions spéciales à Valérie pour « on te trouvait déjà trop sympa sur le net, tu es encore plus géniale IRL », mention spéciale à Miss Kat et son mari pour les crampes à l’estomac et aux zygomatiques à force de rire, mention spéciale à Al pour être l’une de nos plus fidèles lectrices depuis des années, depuis les débuts de la fanfiction, et être encore là, et être venue nous voir, et faire des études maintenant dans l’édition (postule à HQN derrière. Il faut qu’on bosse ensemble, obligé), mention spéciale à Anne Rossi dont le professionnalisme (adorables dédicaces avec petits cartons aux couvertures de ses livres et petits tampons de couleur) était juste épatant, (en plus d’être ultra sympa, mais ça on le savait déjà. Le repas ensemble était top !), mentions spéciales à Sophie et Karine pour leur travail et leur patience (et nous avoir écouté déblatérer des bêtises trois jours durant. Qu’est-ce que ça doit être fatiguant si tous les auteurs font pareil… Euh… Erm)… Et continué à faire de nouvelles dédicaces en chemin (en empruntant des stylos à chaque fois parce que, à partir de ce moment, je n’en ai plus jamais retrouvé, de toute façon…).

 

Anne Rossi, son chat, ses super tampons et son super stylo doré

Le samedi a vu le bonheur de passer toute la journée (après 40′ de retard : à ce niveau-là il y a une réputation à conserver) avec notre amie-auteure préférée à toutes deux-ma bêtalectrice et la meilleure qui soit-et future auteure HQN (du moins, ça fait tellement longtemps qu’on la tanne avec ça qu’on va y arriver – oui, je suis toujours forte en teaser) Magena Suret et de faire encore des tonnes de rencontres. Le salon s’est fini en pantalons et vieilles chaussures (mais confortables) vautrées une fois de plus sur les moquettes du salon mais sans jupe, c’est tout de suite nettement moins un problème.

L’équipe de choc

Bien sûr, aucune bonne résolution (bien se tenir, ne pas dire trop de bêtises, ne pas se faire avoir par le champagne…)  n’a été tenue, on a mis à chaque fois près d’une heure et demie à sortir du salon en s’arrêtant tous les 50 mètres pour blablater avec une nouvelle personne croisée et on a même réussi à faire se moquer de nous notre éditrice Karine parce que ça faisait trois fois qu’on lui disait « allez, on y va » (ah bon ?!).

Nous sommes reparties de là, en oubliant pour ma part de descendre du RER au bon arrêt et n’étant donc pas loin de manquer mon train (non mais parce qu’il ne faudrait pas que ça puisse être simple), et en faisant une maxi sieste pour se remettre de ces jours de folie pour Hope, le tout avec plein de souvenirs, de l’amour plein le cœur et plein de projets. Des textes à envoyer. Des manuscrits à poursuivre et – on nous en a parlé plusieurs fois – un projet d’écriture à 4 mains. Difficile de ne pas comprendre en nous voyant, je pense, à quel point on représente un « pack commun », c’est sûr…

… Et, bien sûr, si ce compte-rendu a été rédigé sous mon nom, il a en fait été écrit à nous deux, en mélangeant nos plumes. Donc on y est presque, à cette écriture à 4 mains !

En conclusion : Merci à tous ceux qui étaient là et merci à tous ceux qui ont pensé à nous. On s’est éclatées !

Il faut bien ça pour se remettre

Un énorme merci à nos deux super éditrices, Sophie et Karine, et à toute l’équipe de Harlequin et à ses membres qu’on a pu rencontrer là-bas. C’était absolument génial.

Et plein de bises, en vrac, à : Gilles Milo-Vacéri, Magena Suret, Aquilegia, Anne Rossi, E.c. Tanengam, Angie Oz, Al, Marie Lerouge, Marie-Laure Bigand, Cécile Chomin, Louisa Méonis, Pauline Libesart, Xenja, Barbara Katts, Fabiola Chenet, Angela Morelli, Emily Blaine, Clarissa Rivière, Miss Kat, Caroline Doudet, les blogueuses de Boulevard des passions, Mille et une pages, Blue Moon, Prose Café… (blogs sur lesquels, pour certains, on s’est permis de reprendre certaines des photos publiées sur les réseaux sociaux, merci !), Valérie DBw, Zazazoo, Aurore Baie, Stéphie, Delphine Dumouchel, les addicts MM, Laurence Baratte, HV Gavriel, Amhéliie, Eric Souley Renoult, Jade Baiser, Sylvie Géroux, Matthias Claeys, Julien Tubiana… ainsi qu’à tous ceux que nous aurions oublié de citer (ne nous en voulez pas, surtout). Et un bisou aussi à celles et ceux qu’on a ratés, notamment Domitille Malin et Cindy Van Wilder, qu’on a vue de loin mais très bien occupée, à remettre à une autre fois, du coup !

Vous pouvez aussi lire les chroniques de cette journée des amis :

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28 réponses

  1. Bravo à toutes les deux… Ce reportage vous ressemble bien et décrit parfaitement ce merveilleux moment de partage.
    Je ne relèverai pas les retards, les oublis, les retards, les stylos, les retards… hum… parce que dans le fond, c’était tout simplement génial de vivre cet instant. Rires !
    Ne t’inquiète pas, Val, tu as franchement été à la hauteur, malgré les stylos et tout ce que tu peux en dire. J’avoue que pour ma première fois, j’étais loin d’être aussi à l’aise que toi… Il n’en demeure pas moins que dédicacer un livre, c’est avant tout rencontrer ses lecteurs et ça, c’est inoubliable pour un auteur.
    De grosses bises bien amicales à toutes les deux !

    • En fait, je crois qu’on fait tous très bien illusion : on est stressés comme pas possible, on fait plein de bourdes, mais on fait semblant de rien, quoi !
      Et c’était vraiment génial de te rencontrer et de vivre cette expérience avec toi. Un grand merci, Gilles. 🙂

    • Opelleam dit :

      Quels retards déjà?? Merci beaucoup à toi pour l’écoute et les conseils!

  2. Vous avez l’air d’avoir passé un super moment. Merci de nous le faire un peu partager.
    J’ai passé le weekend à rabattre les oreilles de mon mari avec le SDL. Tellement qu’il m’a dit que l’année prochaine il m’emmènerait^^ (bon il a rien promis, mais bon je me ferai un plaisir de le lui rappeler.)

  3. Quel humour ! Merci les filles pour votre enthousiasme et votre joie de vivre. Mais vous ne dites rien des beaux gosses ??? Ils sont sortis des couverture ou pas ? Bises de Bretagne à toutes les deux en espérant vous revoir avant le prochain salon. Et gardez la pêche surtout !

    • Mais oui, maintenant que tu le dis, je n’ai pas vu de danseur de capoiera ! (mais qu’est-ce que c’est que cette histoire ?). Ceci-dit, j’ai loupé tous les beaux gosses du salon. Parait-il qu’il y avait des hommes en kilt, une sorte de highlander super sexy… Que dalle ! Je n’en ai rien vu du tout (non mais quand on n’est pas doué…). Mais il y avait apparemment de quoi se rincer les yeux, en tout cas 🙂

      • Opelleam dit :

        On a quand même vu ceux de HQN, mais pas le Highlander sexy (heureusement qu’il y en avait d’autre pour prendre des photos)

  4. Aurore Baie dit :

    Oh que vous m’avez faite rire… par contre, désolée de te le dire, Valéry, mais tu es un petit boulet. Et ça, c’est géant 😉 (et si tu veux un jour te reconvertir en attachée de presse, tu as mon numéro, parce que tu dépotes) A très vite !

    • Voui, j’avoue. Fort heureusement, je maîtrise à la perfection l’expression « non mais je suis juste une fille un peu maladroite et mignonne, ça ne vaut pas le coup de m’en vouloir » (des années de pratique), ce qui fait qu’on ne m’en veut jamais trop. Ouf. Et encore, on n’a pas tout mis ! On aurait pu en ajouter encore plein : les cartons laissés par mes éditrices à mon nom avec les images de mes couvertures qui auraient pu me servir pour les autres dédicaces demandées au hasard des allées… et non : je les ai très intelligemment laissées chez Hope, ce qui fait que j’ai fait d’autres dédicaces n’importe où, du coup, mon pass dont le code barre n’a jamais voulu fonctionner, mon blocage sur le prénom de certaines de mes amies auteures que je me suis acharnée à prononcer n’importe comment plusieurs fois… mais bon, déjà que l’article est très long, ça n’en aurait pas fini. xD
      (et j’aurais adoré faire ton travail !)

  5. bunkobon dit :

    génial cet article. Un vrai plaisir de t avoir rencontrée

  6. PLein de bises aussi, c’était bien sympa de te voir et de discuter (bon, pas longtemps, du coup)

  7. Magena dit :

    Merci, merci, merci à toutes les deux pour cette journée (et pour les supers compliments de cet article et pour m’avoir présentée à tout un tas de personnes intéressantes : maintenant, j’ai la pression XD).
    Plein de bises à vous deux aussi 😀

  8. Tu sais que j’ai quand même cru avoir été aspirée dans une faille temporelle ?

Répondre à Julie ForgeronAnnuler la réponse.

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