La chambre d’Adélaïde

Auteur : Hope Tiefenbrunner.

Titre : La chambre d’Adélaïde

Genre : OS – Past/present – Drame – MF / MM / FF / MMFF (c’est de la faute de la photo prompt) – Soft (malgré la photo).

Résumé : Un petit essai sur le thème du passé/présent et de ce que des murs peuvent voir passer. Pas plus de précision pour ne pas gâcher le texte.

Lieux de publication :

Longueur : Court (4202 mots)

Inspirée par :

SINTE 8

Genèse : Round 8 du défi sex is not the enemy (une image, un mois pour écrire une histoire inspirée). Si vous me suivez un peu, vous saurez que j’ai participé à chaque session de ce défi. Autant dire qu’il était impossible que je n’en sois pas cette fois non plus. L’image m’a inspirée plusieurs choses, mais finalement, ce côté insouciant et libre m’a directement donné envie de placer mon récit dans le passé.

C’est donc tout naturellement que j’ai choisi la fin des années 60/ début des années 70.

Et puis, parce que ce défi me sert surtout à expérimenter, j’ai voulu aller plus loin en faisant un petit passé/présent. C’est quelque chose avec lequel je m’étais déjà amusée sur ma participation précédente avec le texte : Triples homicides sur les berges de la Lombrale, en utilisant certaines phrases pour faire le passage. J’ai repris différemment cette idée. J’ai aussi voulu m’amuser sur un thème qui me touche : celui du temps qui passe et dont une maison peut être témoin, ce que les murs voient passer pendant que nos petites vies s’y écoulent. Sur ce thème, je vous conseille cette très belle chanson de Benabar : Quatre murs et un toit.

Une musique d’accompagnement ?

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