Joanne

Nouvelle parue dans le recueil « Osez 20 histoires de passion sexuelle ».

Autrice : Valéry K. Baran.

Éditeur : La Musardine.

Résumé : C’est arrivé comme ça, sans que je m’y attende. Peut-être que ça devait arriver, un jour ou l’autre. Peut-être que ce que j’avais vécu avant n’avait été qu’un prélude à ce moment-là.

Genre : F/F, Érotique, passion.

Format : Nouvelle. Numérique + papier. Longueur du recueil : 250 pages.

Où le trouver ?

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Genèse : Nouvelle écrite pour l’AT « passion sexuelle » des éditions La Musardine. J’avoue avoir réitéré l’expérience « écriture à l’arrache » : ça m’avait réussi, la dernière fois, ça m’a amusée de retenter… Et bim ! re-réussite ! (j’avoue, je suis fière ! xD).

J’avais envie d’écrire un F/F, soit une histoire entre femmes, avec un vrai scénario et une vraie scène de sexe. C’était l’occasion. 🙂

Résumé du recueil (résumé de l’éditeur) :

Je t’aime un peu,  passionnément, à la folie…

Si la passion amoureuse est si souvent écrite à l’eau de rose, c’est parce que la littérature romantique tend à négliger sa dimension charnelle. Dans ce nouveau recueil, nous avons décidé de corriger cette anomalie en recentrant la passion sur la jouissance sexuelle. Que se passe-t-il du point de vue du désir, des fantasmes, de la sensualité quand deux humains s’éprennent brutalement l’un de l’autre ? Au nom de quelle magie les orgasmes passionnels sont-ils si explosifs ? Que signifie véritablement l’expression « avoir quelqu’un dans la peau » ? Ces 20 histoires aussi passionnantes que passionnelles vous le diront.

Extrait :

Ce baiser n’eut rien de tendre, comme on aurait pu l’imaginer entre deux femmes. Que de l’envie. Que du besoin, étouffé jusque-là, rendu plus vif encore par l’urgence que j’éprouvais. Parce qu’on commentait une faute, je le savais. On franchissait un interdit. Joanne n’aurait pas dû être en train de m’embrasser, à ce moment-là. Je n’aurais pas dû être chez elle.

Je crispais les doigts sur ses cheveux tandis qu’elle faisait glisser mon manteau jusqu’au sol. Mon écharpe suivit le même chemin et on progressa vers son canapé, je ne sus trop comment, avant de s’y casser à moitié la gueule. Qu’importe, ses lèvres étaient déjà sur mon buste, happant mes mamelons durs et sensibles, à travers la toile de mon chemiser, et toute pensée que j’eus encore pu avoir devint lointaine et sans intérêt.

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