Bilan hebdo 70 #Nano
Je vais arrêter mes bilans en vous disant que je ne suis pas morte hein! Bref, je suis plutôt sous l’eau là car oui, qui dit Novembre dit …..
Donc, oui, je me suis de nouveau engagée dans ce chouette marathon d’écriture et grand bien m’en a pris. En effet, si je n’ai pas beaucoup écrit de bilans ces derniers temps, c’était aussi que j’étais en galère comme pas possible sur l’écriture Des Eveillés, en mode désespoir, j’écris, je coupe, j’avance, je supprime. Bref, du sur-place tout à fait désagréable. En grande partie, cela venait (malgré ma préparation) d’une méconnaissance de mes personnages. Je me souviens avoir eu le même genre de problème avec Dalek au début de l’écriture du tome 1 de Malchance et objets magiques (mais Dalek est compliqué alors c’était presque normal non?). Cependant là, je butais sur les deux. Je ne veux pas qu’ils tombent amoureux trop vite, je ne veux pas qu’ils ressemblent à des personnages que j’aurai déjà écrit, etc, etc. Bref, beaucoup de doutes et une écriture qui ne coulait pas comme je le souhaitais. Le pire étant que pour une fois, j’avais un plan donc je savais ce que j’étais censé écrire mais je ne parvenais pas non plus à lier les scènes et à emmener mes loulous où ils devaient aller. J’avais aussi beaucoup de mal à visualiser le décor autour d’eux.
Mais Nano oblige, il a bien fallu que j’écrive. Alors, je ne vais pas vous mentir, il y a de la casse et beaucoup de mots ne seront pas conservés à la fin. Néanmoins, ça y’est : j’avance (cf cette jolie courbe de résultats).
Je viens donc d’entamer le 8eme chapitre (alors que je galérais sur le 4 en début de Nano). Alors, j’écris. Habituellement, je relis toujours un peu, là pas du tout. Quand je repasse rapidement, je vois des répétitions, des fautes d’orthographe, un style très moyen mais je m’en fous. J’avance, je rédige la trame principale et le reste ce serait pour après. Bref, vous avez devant vous (enfin par écran interposé) une autrice heureuse et qui va d’ailleurs continuer d’écrire un peu (j’ai un chapitre dont je n’ai même pas rédigé la fin, honte à moi!)